mercredi 27 novembre 2013

Urdaibai Bird Center



Urdaibai Bird Center                                                                          
Le vanderdi 15 Novembre on est allé visité la Bird Cener de Urdaibai.Ona comencer par voir la grand carte de migration des oiseaux de tou l'europe.Apres on est allé voir les diferen oiseau que migre à Urdaibai.On a vue les oiseau qui etait dans les maré à ten real avec des prismatique.La classe de 5emeC a vue un film de la migration de oiseaux et on est allé à un observatoire pour voir de plus pres les oiseaux qui etait presnt en ce moment la avec la moniteur que nous les montrée.









Aussi elle nous a montrer une station climatique qui est dedan le Urdaibai Bird Center.c'est un balon qu'on le gonfle est part pour prendre la temperature le vent et la polution de l'air et après il explose.













Le travail de  persone que travail dans le Bird Center son des persone que doive voir les diferen tipes d'oiseaux les comptes les oiseaux de diferen espèce
chaque semaine .Ils doivent enlevée des tron d'arbes que son tombée pour que les oiseaux pour que les oiseaux ne sont pas à l'aise.



mercredi 13 novembre 2013

L'écosystème du marais d'Urdaibai



Dans la province de Biscaye, entre les caps de Matxitxako et Ogoño, se déploient douze kilomètres d'étendues de sable qui ont été classées par l'Unesco, tout comme de nombreux autres écosystèmes, Réserve de la Biosphère en 1984. On parle d’Urdaibai. Des forêts de chênes verts côtoient des zones de végétation aquatique, ce qui rend compte de la valeur écologique de cette ria.

Ces kilomètres de terrains sablonneux à l'embouchure la Ria de Gernika, où se mêlent eaux douces et salées, constituent la zone humide la plus importante d'Euskadi, où viennent se reposer ou hiberner de très nombreuses espèces d'oiseaux a migrateurs rares sur la Péninsule Ibérique, telles que le héron cendré, le cormoran ou la spatule qui se nourrissent d'animaux enterrés ou semi-enterrés dans le sable ou le limon.


Les marais se forment par contact continuel et lent entre eaux douces et eaux salées dans les plaines alluviales. Ils constituent, avec les forêts tropicales et les récifs de corail les écosystèmes les plus productifs de la planète. 


Bibliographie

Site [1] : Tourisme en Espagne
Consulté le : 20/11/13


La photosynthèse


La photosynthèse est le mécanisme qui permet à la plante d'utiliser l'énergie lumineuse pour effectuer la transformation de molécules simples en matière organique. Elle a lieu dans des structures cellulaires spécifiques, les chloroplastes. La photosynthèse participe au métabolisme des plantes, au même titre que la respiration.

La photosynthèse a généralement lieu dans les feuilles. Ces organites contiennent un pigment vert, la chlorophylle, capable de capter l'énergie lumineuse. Cette énergie sert à fabriquer des molécules de sucres à partir de l'eau puisée dans le sol par les racines et du gaz carbonique de l'atmosphère, capté par les feuilles. Les sucres produits par photosynthèse sont ensuite distribués dans toute la plante.

La photosynthèse a deux phases.La première phase de la photosynthèse, appelée phase claire, nécessite l'éclairage de la feuille. La chlorophylle qui est enchâssée dans la membrane des thylakoïdes absorbe l'énergie lumineuse. Cette absorption d'énergie s'accompagne de la dégradation de molécules d'eau et de la libération d'oxygène. Dans une seconde phase indépendante de la lumière, appelée phase sombre, l'énergie absorbée par la chlorophylle est utilisée pour la transformation de molécules de gaz carbonique en molécules de sucres.(1)






Bibliographie :

1)Nom du site :ikonet

Consulté le:13/11/13

dimanche 20 octobre 2013

La migration Spatule Blanche

La migration Spatule Blanche

La Spatule Blanche


Nom: LATIN : Numenius arquata
ESPAGNOL : Zarapito real
FRANÇAIS : Courlis cendré
EUSKERA :Kurlinta handi
ANGLAIS : Eurasian Curlew
 

 Description


Le mâle adulte en plumage nuptial a le corps, les ailes, la queue et la tête blancs. Cependant, la saison de la reproduction voit leur tête devenir plus colorée avec une zone jaune orangé autour de la base du bec. Le menton et la gorge sont nus et orange vif. Un collier jaune chamoisé plus ou moins complet se trouve à la base du cou. Les longues plumes de la calotte forment une crête ébouriffée teintée de jaune.

Le long bec est droit et cannelé transversalement avec l’extrémité en forme de spatule. Il est noir avec le bout orange vif. Les yeux sont rouges. Les pattes et les doigts sont noirs.


Alimentation
La Spatule blanche se nourrit en marchant lentement dans l’eau peu profonde avec le bec semi-ouvert et partiellement immergé. Les proies sont détectées par le toucher.
L’oiseau déplace la tête et bec latéralement dans l’eau, tandis que le bec s’ouvre et se ferme rapidement et alternativement. Ceci permet de capturer plusieurs petites proies
Les spatules se nourrissent souvent en petits groupes, en marchant dans l’eau les unes près des autres, ce qui rend la pêche plus efficace.
La Spatule blanche se nourrit d’insectes aquatiques adultes et larves, mais aussi de nombreux petits animaux aquatiques tels que crustacés, mollusques, amphibiens et petits poissons. Quelques algues sont parfois consommées.
HABITAT 

    La Spatule blanche fréquente les zones humides très étendues telles que les terres inondées, les fleuves et les marais ainsi que les cours d’eau importants.
Sur les zones d’hivernage, on la trouve aussi dans les habitats côtiers abrités, les criques, les deltas, les estuaires et les lagunes côtières.
Elle nidifie sur les iles, parfois sur la côte, mais le plus souvent près des lacs et des fleuves. Il lui arrive de s’installer dans les roselières avec des buissons et des arbre

Reproduction
La saison de reproduction varie avec la distribution, et dépend du niveau des eaux dans certaines régions.
La Spatule blanche nidifie en colonies monospécifiques. Les deux adultes participent à la construction du nid, mais c’est surtout la femelle qui construit, avec les matériaux apportés par le mâle. C’est une plateforme faite de rameaux de bois, brindilles, roseaux ou tiges d’herbes, et tapissée d’herbes et de feuilles. Dans les iles, elle est placée sur le sol, mais sur le continent, elle est souvent située dans un arbre ou un buisson à environ 5 mètres au-dessus du sol.
La femelle dépose 3-4 œufs. L’incubation dure 24-25 jours, partagée par les deux adultes. A la naissance, les poussins sont couverts de duvet blanc épars. Ils ne naissent avec le bec aplati, et ont un bec plutôt court, doux et charnu. Il commence à s’aplatir au bout de 9 jours, et ressemble à celui des adultes à l’âge de deux semaines.
Les jeunes quittent le nid au bout de 45-50 jours après la naissance. Ils seront sexuellement matures vers 3 ou 4 ans.
Hivernage
La spatule blanche est un oiseau migrateur qui nichait, avant les années 80, principalement dans le Benelux et hivernait sur la côte Ouest de l’Afrique jusqu’au Sénégal. On peut pourtant la voir désormais toute l’année en France. Une centaine de couples nichent en effet en France : principalement sur la côte Atlantique mais également dans le Parc du Marquenterre (Somme). Elle est également présente toute l’année dans le Golfe du Morbihan et depuis les années 90 et on l’observe chaque année en Basse-Normandie dans la baie de Sallenelles et dans l’estuaire de la Seine par exemple.La spatule blanche tend à hiverner de plus en plus dans nos contrées.
Information diverses
 Est-il en danger d'extinction?
Même s’il n’est pas menacé dans sa globalité, le Courlis cendré figure à l’annexe II de la Directive
 Oiseaux, à l’annexe III de la Convention de Berne, à l’annexe II de la Convention de Bonn et l’espèce est listée en catégorie C1 de l’African Eurasian Waterbird Agreement (conservation des oiseaux d’eau migrateurs d’Afrique-Eurasie). Espèce chassable en France (à condition que cela ne porte pas atteinte à la conservation des espèces), le Courlis cendré est en déclin en hivernage et à surveiller en tant que reproducteur
Bibliographie
Site1 : Oiseaux-birds
Consulté:11/10/2013
 Site:1 Oiseaux-echassiers
Consulté:15/10/2013

Site 2: estuaire-gironde
Vue le: 15/10/2013
Disponible sur: http://www.estuaire-gironde.fr/Decouvrir/Rencontre-avec-les-oiseaux-qui-peuplent-l-Estuaire/La-Spatule-Blanche

La migration Courlis Cendré

Le Courlis Cendré
Nom: LATIN : Numenius arquata
ESPAGNOL : Zarapito real
FRANÇAIS : Courlis cendré
EUSKERA :Kurlinta handi
ANGLAIS : Eurasian Curlew

Grand limicole brun tacheté, plus grand que le Courlis corlieu, le bec
plus long a une courbure plus régulière, les motifs crâniens du plumage diffèrent.

En vol, le dessus des ailes et le dos brun pâle contrastent avec
les rémiges primaires brun sombre.

 Peu de variations avec les saisons et les
classes d'âge et de sexe :
au printemps se colore d'ocre-jaune vif,
en hiver la base de la mandibule inférieure est souvent rose,
 la femelle a le bec plus grand que le mâle,
le jeune en fin d'été a le bec plus court que l'adulte

Habitat

En été, prairies humides, tourbières, landes d'altitude, marais ; en hiver
fréquente estuaires et vasières littorales.



Alimentation
Dans les champs capture insectes et leurs larves, vers de terre, amphibiens,
petits poissons d'eau douce, cueille graines et baies.

Sur la côte se nourrit
d'invertébrés marins


Reproduction

Un peu en hauteur pour être au sec, 4 oeufs verdâtres à brunâtres tachés de brun
et de gris, de 68 mm, sont pondus en avril-mai dans un creux gratté au sol et
tapissé d'herbes sèches.

 L'incubation dure 27-29 jours ; les jeunes, nidifuges,
s'envolent à 32-38 jours


Hivernage


  Les populations nicheuses migratrices
occupent le nord-est de l'Europe ;
 plus à l'ouest, les sédentaires occupent ponctuellement le littoral de
la mer du Nord, des îles Britanniques et d'Irlande.

 Hiverne sur l'ensemble des
côtes ouest-européennes et africaines.

 Les passages ont lieu en juin-novembre et
en avril-mai.

DIVERS(relations avec urdaibai)


 La spatule blanche est un de plusieurs éspeces fauníste car est présente dans la réserbe de la Biosfera de Urdaibai


Bibliographie


Site1 : Oiseaux-birds
Consulté:15/10/2013
 Site:1 Oiseaux-echassiers
Consulté:15/10/2013


mercredi 2 octobre 2013

La migration des oiseaux à Urdaibai

La migration se produit en général à des périodes de changements de conditions climatiques, mais elle est en réalité due aux variations dans la disponibilité de la nourriture. 



Pourquoi les oiseaux migrent?



Ainsi, les oiseaux migrateurs ne partent pas pour chercher le soleil mais pour trouver une nourriture abondante. Le fait que la migration se produise au changement de saison a marqué l'esprit populaire au point de créer des proverbes comme ''Une hirondelle ne fait pas le printemps''.  Le retour des oiseaux migrateurs dans les régions tempérées pour y nicher et se reproduire s'explique par la présence moindre de prédateurs et une moindre concurrence lors de la collecte de la nourriture avec les autres espèces.  Le principe de la migration pour les poissons et les mammifères marins est le même : l'espèce va chercher la ressource alimentaire et la sécurité là où elles se trouvent, en fonction des saisons. (1)





Migration Urdaibai

Urdaibai se localise dans l'une des routes migratoires plus importantes de l'Europe, il est déclarée Réserve de la Biosphère par l’UNESCO en 1984, ses prés humides, ses jonchaies et sa zone intermarées constituent un site stratégique de repos pour les oiseaux qui suivent les côtes atlantiques européennes dans leur migration. De nombreuses espèces de limicoles peuvent ainsi y être observées, ainsi que la spatule, les canards et le balbuzard pêcheur.
Les oiseaux hivernants y sont nombreux, surtout lors des vagues de froid pendant lesquelles la ria et ses alentours constituent un refuge d'importance vitale pour une grande quantité d'oiseaux septentrionaux, parmi lesquels certains ne sont présents que très occasionnellement sur la Péninsule ibérique.
La ria est environnée de collines couvertes de forêts de chênes verts cantabriques et par le paysage typique de pâturages dans les zones les plus plates. Les falaises et îlots proches accueillent d’intéressantes population nicheuses de monticole bleu, cormoran huppé, aigrette garzette et océanite tempête. (2)

Bibliographie:
1)Nom du site: Pourquoi.com
Consulté le: 02/10/13
2)Nom du site: - Urdaibai Bird Center
                            -Birdind Euskadi
Consulté le:  02/10/13

Les plantes invasives en Bizkaye

Les biodiversités de Bizkaye sont menacées par de nouvelles espèces, dites invasives. Avec l’augmentation des échanges internationaux et de la mobilité, le réchauffement climatique et l’ouverture des marchés, ces plantes invasives se répandent et prennent peu à peu le pas sur les espèces de nos régions, comme : Cortaderia selloana et la Baccharis halimifolia en Bizkaye.
Ces plantes font disparaître les espèces locales, peuvent menacer notre santé et notre économie.

Problèmes
Il faut lutter contre ces plantes pour des raisons écologiques. En effet, elles causent de la perte en biodiversité. Leur introduction sous forme de vaste peuplement modifie plusieurs paramètres du milieu notamment au niveau de son fonctionnement, de sa composition et de sa structure. En concurrençant les espèces indigènes, on assiste à la disparition progressive de ces dernières d’où un appauvrissement inévitable de la biodiversité. Les espèces animales peuvent également être concernées par cet appauvrissement. Il faut également lutter contre elles pour des raisons économiques. En effet, les luttes pour l’éradication sont souvent très couteuses sans être complètement efficace, les surfaces à traiter étant constituées par de vastes superficies. Leur présence peut aussi gêner les activités comme la pêche, la navigation, l’agriculture ou les loisirs ; ce qui peut avoir des impacts sur le plan économique en limitant les ressources financières et en supprimant des emplois. Les plantes envahissantes ont aussi des impacts sur la santé publique. 

Solutions
La lutte préventive consiste à interdire l’introduction de nouvelles espèces. À cet effet, il faut éviter d’utiliser certaines espèces comme les baccharis dans les aménagements d’espace vert. Pour lutter contre les plantes envahissantes déjà installées, il existe la lutte physique, la lutte chimique et la lutte biologique. L’arrachage des plants dans le jardin avant la floraison est recommandé pour éviter la propagation des graines. Il faut également éviter de procéder à leur fragmentation à travers des opérations de faucardage comme le cas du lagarosiphon qui est une espèce réputée pour être difficile à éradiquer. Le lierre grimpant est une plante reconnue pour être particulièrement envahissant sur nos murs et peut provoquer des dégâts. La technique de lutte consiste à tuer la plante entière en coupant le tronc et les feuilles. Cette opération sera suivie d’un traitement chimique à la chaux concentrée en y versant le liquide et en laissant agir pendant 24 heures. L’application de désherbant puissant va tuer la plante en pénétrant dans le lierre. La lutte biologique consiste à utiliser des plantes pouvant concurrencer et faire disparaître ces plantes envahissantes.




Bibliographie:
Introduction: Nom du site: PPUR La Science en Livres
                                            Flora alóctona invasora en Bizkaia
Consulté le: 02/10/13

1)Nom du site: Horticulteurs.net
Consulté le: 02/10/13

2)Nom du site: Horticulteurs.net
Consulté le: 02/10/13

mercredi 25 septembre 2013

Toujours plus de déchets


.


L’augmentation de la consommation et le changement de style de vie, font que les richesses naturelles du sol sont chaque jour un peu plus exploitées

L’augmentation de la consommation a également provoqué une augmentation des déchets au point que certains n’hésitent pas à comparer les ordures à une maladie qui peut en terminer avec la planète terre: l’infarctus des déchets.

Mais qu'appelle-t-on déchet?

Tout produit qui après avoir été fabriqué, touché ou utilisé perd de sa valeur pour la personne qui le possède.
Le niveau économique de chacun va conditionner la valeur que l’on donne à chaque chose et le plus ou moins long usage que l’on va en faire.
Le concept de déchet, est donc très relatif, puisque on peut considérer déchet quelque chose qui ne l’est pas pour le voisin.

Et l'évacuation de nos déchets pose problème d'autant plus que les quantités ne cessent d'augmenter.
De tous les résidus produits dans la ville, ceux qui sont le plus en relation avec notre propre consommation, sont ceux que l’on trouve dans notre sac poubelle.

Agriculture et faim monde



Dans les 50 dernières années, la technologie moderne est parvenue à tripler la production céréalière mondiale et malgré cela plus d’1 milliard de personnes souffrent de la faim, 30 millions en meurent chaque année.
L’explosion démographique a surpeuplé la planète avec 6 milliards de personnes et une augmentation annuelle de 95 millions, alors que la surface cultivable est en train de se réduire avec la progression du désert.
Obtenir que la population mondiale se stabilise et qu’elle se nourrisse convenablement est sans aucun doute le grand défi de notre planète.
L'agriculture intensive est aujourd'hui fortement remise en question et ce n'est pas sans raison. Dégradation du paysage et du sol, procédés contestables de culture et d'élevage, mondialisation et appauvrissement de pays déjà en difficulté, mais aussi risques alimentaires réels.
Derrière cette agriculture intensive se cachent des enjeux économiques énormes, et le marché mondial est contrôlé par les grandes industries de l'agrochimie, propriétaires des herbicides, des pesticides et des semences.

jeudi 19 septembre 2013

L’agriculture en question


 


Dans la mesure ou nous obtenons les aliments de la terre, l’agriculture et l’élevage sont la base de notre culture, notre civilisation.



Tout au long du 20eme siècle, les agriculteurs/agricultrices des pays industrialisés se sont lancés dans la course folle de la productivité, en ayant recours, chaque fois un peu plus à l’usage de machines agricoles et de carburant, d’engrais chimiques, de pesticides…C’est la « Révolution verte ».



Ces systèmes intensifs de production ont contribué à améliorer notre niveau de vie, cependant le revers de la médaille est peu brillant : sols dégradés, eaux contaminées, perte de la biodiversité, aliments avec des résidus dangereux pour notre santé.



La globalisation impose ces modèles de production intensive à l’ensemble de la planète, et de nombreux agriculteurs sont dépossédés de leur terre et se voient obligés à émigrer vers la « terre promise ». Cette situation provoque la perte de la vie rurale et sa culture, la pauvreté et la faim dans le monde.